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La vieille Sidonie.




 

La vieille Sidonie est femme de ménage, et elle travaille tous les jours de la semaine. Son mari dit tout le temps: “Pourquoi est-ce que tu travailles tant? Ce n’est pas nécessaire. Nous sommes vieux, et nous avons tout ce qu’il nous faut.”

“Toi, peut-être, Laurent, mais pas moi”, dit Sidonie. “J’ai vu une jolie bague chez le bijoutier, et je veux absolument l’acheter. Tu sais bien que je n’ai pas de bijoux.”

“Même pour une bague, je ne veux pas que tu travailles tant”, dit encore Laurent.

“D’accord, je ne travaille plus le dimanche, seulement la semaine.”

Sidonie va souvent chez le bijoutier pour regarder la bague. Elle n’est pas grande, mais elle a une très belle perle.

“Je la garde pour vous, Madame”, dit le bijoutier.

Après un an et demi, Sidonie a enfin 500 euros, le prix de la bague. Elle est très contente, et elle va chez le bijoutier. Elle dit au revoir à son mari et prend le métro. Elle est très fatiguée, et elle s’endort quelques minutes dans le métro. Quand elle se réveille, elle regarde tout de suite dans son sac. Ses 500 euros ne sont plus là. Quel malheur! Qu’est-ce qu’elle va faire? Et qu’est-ce qu’elle va dire à Laurent? Tant de travail pour rien!

En face d’elle, dans le compartiment, il y a une dame. Elle dort aussi. Sidonie pense: “C’est sûrement elle qui a volé mon argent.” Et très vite, elle ouvre le sac de la dame et prend l’argent.

Deux heures plus tard, Sidonie rentre à la maison.

“Laurent! Me voilà! J’ai acheté la bague. Regarde!”, dit-elle.

“Mais avec quoi as-tu payé cette bague?”, demande son mari. “Ton billet de 500 euros, il est là, sur la table de la cuisine.”

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Les bijoutiers parisiens ont organisé une exposition de pierres précieuses. À cette occasion, le maharadjah Dalassou a été invité car il possède le célèbre diamant de Jaipur, une pierre d'une taille extraordinaire. Celle-ci appartient à sa famille depuis des siècles. Aussi, malgré les offres fabuleuses de collectionneurs, il a toujours refusé de la vendre. «Vous savez, c'est une partie de moi-même», dit-il à l'acheteur. Et si celui-ci insiste, il ajoute avec un sourire très doux : «Ce diamant vit. Est-ce que la vie se vend ? »

Cependant, si ce seigneur des Indes avait pu prévoir l'avenir, il serait resté dans son beau pays.

Quelques jours avant la date fixée pour l'exposition, une réunion a lieu dans un petit bistrot de Pigalie. Des individus discutent autour d'une table.

- Quand arrive-t-il, ce mara-je ne sais quoi ? André a parlé à voix basse.

- Idiot ! lance Charles, le chef de la bande. On dit maharadjah. Il vient dans trois jours. Si tout se passe comme prévu...

Ils sont assis près de la fenêtre. Ainsi, ils peuvent surveiller, à la fois, la salle et la rue. Comme cela, ils sont à l'abri des mauvaises surprises. La police a ses informateurs. On n'est jamais trop prudent. D'ailleurs, ils agissent toujours le visage masqué quand ils attaquent les bijouteries.

- L’expo est à quelle date ? demande Jean.

- Le 15 septembre. Six jours à attendre, répond Charles.

- Tu as un plan ? intervient François.

- Bien sûr, sinon vous ne seriez pas ici.

- Espérons qu'il n'est pas trop risqué, murmure Lucien. Je ne tiens pas à me faire arrêter !

- Si tu as peur, tu peux rester chez toi ! s'écrie François.

Charles fait un geste apaisant.

- Allons, du calme. Ecoutez ! D'abord, il nous faut quelqu'un sur place qui nous donnera des informations sur le système de sécurité, les gardes, etc. Un type qui aura la possibilité d'aller et venir sans éveiller les soupçons. Je connais un gars qui fera l'affaire.

- Il est sérieux ? On peut lui faire confiance ? demande Jean.

- Puisque je vous l'affirme, dit Charles. Puis, soudain, il ordonne :

- Débarrassez-vous de vos armes, voilà les flics!

Il vient d'apercevoir dehors deux voitures noires et des hommes en sortir précipitamment. Rapidement, il prend les armes et les donne au patron du bistrot qui va se charger de les cacher. Au moment où il regagne sa chaise, la porte s'ouvre brusquement : des hommes font irruption dans la pièce, revolver au poing. Ils sont habillés de jeans, blousons et baskets. Une voix déclare :

- Contrôle d'identité! Restez à vos places et pas un geste !

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